Au-delà de la visite de ce site inaccessible et exceptionnel, les principales raisons de cette remontée du fleuve restent la pêche et la chasse.
C'est surtout au retour que cela se passe.
On peut couper le moteur et se laisser porter par le courant. Ça effraye moins les animaux et on peut en profiter pour pêcher.
À l'aller, ils n'ont attrapé que quelques oiseaux imprudents, une maman singe avec ses deux bébés
(l'un a survécu à la chute de sa mère et m'a officieusement déclaré "maman adoptive" pendant 48 heures, l’autre a été généreusement offert au fleuve)
et de nombreux iguanes qui constituent une valeur sûre pour les repas car ils ne sont pas très farouches et même si pour un palassissi comme moi, ils sont indétectables tellement ils se fondent dans la végétation, les Wayanas en ratent peu...
En plus du couac et de la kassav, on ne meurt pas de faim.
samedi 24 mars 2007
Chasse, pêche, Forêt vierge et tradition
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire